Après les bombardements avant la reconstruction le déblaiement.

Planimètre de 1931 pour situer les rues.

Les premiers déblaiements furent effectués par les Allemands entre le 6 juin et le 18 juillet 1944 pour tenir ouvertes certaines voies de circulation dans la ville, nous n'en parlerons pas ici.

Ensuite les Anglo-canadiens déblayèrent certaines rues, installèrent des ponts Bailey sur la rivière Orne et créérent de nouvelles voies en ville pour faciliter le trafic vers le Sud de Caen (vers Falaise).

Les rues de Caen après les combats.

I- Rive gauche

II- Rive droite

III- Baraquements en bois par le Secours Quaker

RIVE GAUCHE

A gauche, photo R. Tesnière. Rue Saint Pierre, travaux de déblaiement par des PG allemands avec un camion Dodge Tipper. A droite, dans le fond l'église Saint Pierre. De nos jours.

Source: photo présentée page 416 de ce livre. Rue Saint Jean, un bulldozer Caterpillar D6,  N°344 soit la 1st Mechanical Equipment Coy, RCE , à droite une grue charge un dumper.

Le Génie canadien à l'ouvrage, photo non localisée.

Rue Saint Jean,  des soldats allées et une grue Ruston-Bucyrus model 10 (10-RB)

 

Source: photo présentée page 417 de ce livre. Le lieutenant Cronyn de London (Ontario) et le Major Mc Tucker de Montréal ouvrent l'Andy's Alley, le 3 août 1944.

"La rue sans-nom" parallèle à la rue Saint Jean entre le quai de Juillet et le boulevard des Alliés est ouverte par la 23rd Field Coy, RCE ; baptisée du nom du Lieutenant A. B. Anderson, du QG du Génie Royal canadien (RCE) de la 1st Cdn Army : "Andy's Alley". Les croix blanches sur les ruines de la Miséricorde rappellent le sacrifice des équipiers d’Urgence (E.U.) et Nationaux (E.N.)

.

Des prisonniers allemands déblaient des ruines à Caen, endroit non localisé.

Photo Fonds Robinard. Des prisonniers allemands déblaient des ruines à Caen, endroit non localisé.

Quai Vendeuvre.

Des véhicules alliés: camion, ambulance, place Fontette avec les Tribunaux en arrière-plan. De nos jours.

 A l'angle de la rue du Gaillon et de la rue Bosnières.

Le bas de la rue du Gaillon

Collection R. Tesnière. Le haut du Gaillon

Soure: Archives du Calvados. Bâtiment de la caserne Lefebvre dans l'enceinte du château ( à gauche la porte des Champs); le photographe est sur l'Esplanade de la Paix, de nos jours le bâtiment a disparu, à gauche la porte des champs et au centre le clocher de l'église Saint Pierre . dans ce film en 3:07 le même immeuble. Voir avant le bâtiment à gauche.

Le haut de la rue des Chanoines. Source à droite: Collection R. Tesnière.

Rue Gabriel Dupont, à gauche la Banque de France, l'église Saint Jean, en arrière plan l'église de la Trinité de l'Abbaye aux Dames.

Photo Fonds Robinard. La cour de la Monnaie de nos jours la Place Pierre Bouchard.  A gauche le croisement de la rue Saint Pierre avec la rue de Strasbourg. Avant.

De la tour de l'église Saint Jean: au premier plan l'Ecole Supérieure de Filles avec les arbres de la cour en bas à droite puis la Banque de France, en arrière-plan la Prairie inondée devant le Monument aux morts sur la place Foch et l'hôtel Malherbe qui était le siège de la Feldkommandantur 723. Les rues Gabriel Dupont et Saint Louis sont dégagées.

A gauche "Photo Archives Municipales de Caen. A droite "Archives départementales du Calvados" La rue des Carmes dans le fond l'église Saint Jean. De nos jours.

Source. La pharmacie du Progrès, entrée rue Saint Jean avant et après.

L'entrée de la rue Saint Jean, à gauche la pharmacie du Progrès, par la place Saint Pierre. De nos jours.

Photo Bernard Goupil. A l'automne 1944, rue Saint Jean devant le portail de l'église Saint Jean , des PG allemands remettent en place des pavés. Repérage.

Collection Jean Roubier. l'église Saint Jean

Cette photo fait la couverture de ce livre. Le photographe est dans la tour de l'église Saint-Jean, à droite la rue du 11 novembre; en haut à droite Saint-Michel de Vaucelles en bout de la rue Saint Jean le Monty's bridge (un double Bailey).

Le photographe a pivoté de 180°, l'église Saint Pierre sans sa flèche

La rue Saint Jean vers l'Orne, à gauche les ruines de l'hôtel d'Angleterre.

"Photo Archives Municipales de Caen". Vue aérienne à  faible altitude: en bas à droite le clocher de Saint-Jean, au centre l'église Saint-Pierre, au centre en haut le château avec les casernes, à droite le Sépulcre. Les rues sont dégagées et les pierres sont en tas.

Le Château  avec repérage

 Le carrefour de la rue Gabriel Dupont avec la rue Saint Jean, l'immeuble est le magasin La Gavotte, en arrière plan à gauche le Monument aux morts de la place Foch.

Rue Saint Jean, à droite l'enseigne verticale du magasin La Gavotte

Rue Saint Jean, à gauche les mêmes immeubles.

Rue Saint Jean et l'église Saint Jean

Source page 115. Rue Saint Jean des camions de la 2nd Canadian Armoured Brigade Company R.C.A.S.C. transportant des fournitures, juillet1944.
(D'après une aquarelle du Major WillA. Ogilvie)

Rue Saint Jean, à gauche côté Sud, à droite côté Nord.

Un convoi allié: deux motos et un camion rue Saint Jean vers Saint-Pierre en amont du carrefour de la rue de Bernières. De nos jours.

Rue Saint Jean, à gauche au niveau du magasin André, à droite des civils et des soldats alliés à hauteur des rues Frémentel et Laplace.

Photo de gauche: à droite, la rue Saint Jean avec l'entrée du passage Bellivet, à gauche la rue de Bernières, à noter des inscriptions sur le magasin de vêtements Henri Devred : Quincaillerie Buon et Coop. De nos jours. Photo de droite: le photographe est dans la tour de l'église Saint Jean.

La rue Saint Jean, dans le fond l'église Saint Pierre et sur la photo de gauche les vestiges de l'hôtel d'Angleterre.

Photos collection Mme Lanoë-Dubois. En 1946, la rue Saint Jean à gauche ce qui reste de l'hôtel d'Angleterre; à droite, le photographe se trouve sur le trottoir coté impair de la rue Saint Jean, derrière le personnage à gauche Les Nouvelles Galeries, puis l'immeuble de la BNP place de la République, dans le fond à droite derrière les arbres le clocher de Notre-Dame de la Gloriette, à droite l'hôtel de Mons rue de Bernières.

Photo Fonds Robinard. Rue Saint Jean, les grilles de l'hôtel d'Angleterre.

9 rue de Bernières et les ruines des Nouvelles Galeries. Avant.

Les Nouvelles Galeries, rue de Bernières

Photos Delcampe. Les Ets Dumont & Jaussaud au 135 rue Saint Jean près de l'église Saint Jean. A droite, l'autre face de l'église.

A l'angle de la rue du 11 Novembre (à gauche) et de la rue Saint Jean.

Le 2 septembre 1944, un camion de la Brigade Piron dans une rue de Caen.

 

 La rue de la Délivrande. De nos jours. A droite, source, le début de la rue de la Délivrande.

Route de la Délivrande

La caserne Hamelin, quai des Casernes en arrière-plan l'église Saint Michel de Vaucelles

Rue de l'Ancienne Comédie, Grand Café Louis XIV.

Coll. part. Éric Eydoux. Place de l'Ancienne Comédie, la Citroën est garée rue de l'Ancienne Comédie, dans le fond la tour de l'église Saint Jean au bout de la rue Jean Romain, en janvier 1945 sous la neige.

Source. L'arrière Sud-ouest de la Maison des Etudiants, avenue Albert Sorel. Occupée par la Luftwaffe , dynamitée et incendiée par les Allemands à leur départ.

Rue de Geôle, pendant et  après le déblaiement.

Source. Entrée de la rue de Geôle, à droite le Marché au Bois. Voir en plan serré ci-dessous.

Rue de Geôle. La façade à droite est celle de l'immeuble du Crédit Industriel de Normandie.

Rue de Geôle et les remparts du château. De nos jours.

Photo Fonds Robinard. La sation Pomologique au N°82 rue de Geôle. De nos jours.

Rue de Geôle, à droite les remparts du château.

Collection R. Tesnière. Rue de Geôle.

La maison des Quatrans rue de Geôle

La maison des Quatrans rue de Geôle.

L'arrière de la maison des Quatrans vu de la rue des Teinturiers, en arrière-plan le château.

Collection R. Tesnière. Rue des Teinturiers.

Carrefour rue Jean Eudes et rue Saint Laurent. De nos jours.

Carrefour rue Auber et rue Saint Laurent. De nos jours.

"Photos OFIC" page 80 de ce livre. La compagnie Scamaroni rue Saint-Laurent. De nos jours.

Rue des Jacobins.

En 1945, la rue des Jacobins croise la rue des Carmélites, localisation, dans le fond la place du Théâtre sous la flèche de l'église Saint Sauveur l'immeuble de Ouest-Eclair. Voir pendant l'occupation et avant déblaiement.

La rue des Jacobins, début des années 50, vers la place Foch avec le Monument aux morts de 14-18. De nos jours.

Photo Thomas. Place du 36e RI vers la rue Saint Jean, le camion est rue du 11 Novembre.

La place du 36e RI en arrière-plan les ruines de la caserne Hamelin

La rue du 11 Novembre avec le garage Peugeot.

A gauche, la rue du 11 Novembre, la maison du docteur Morice voir dans l'autre sens, dans le fond le Monument aux morts de 14-18. A droite, dans l'autre sens.

Rue du 11 Novembre, début des années 50

Source. Photo aérienne du 2 octobre 1944 vers le Sud, à gauche la rue Saint Jean, à droite la pancarte des Galeries Lafayette, Bd des Alliés, le cinéma Majestic et la brasserie Chandivert au centre, en blanc derrière la toiture des Nouvelles Galeries, en haut à droite le Cours Sadi Carnot et la Prairie.

Coll. part. Éric Eydoux. Les passants sont à l'angle des rues du Moulin et de Strasbourg, l'homme au centre se dirige vers la place de la République, durant l'hiver 1945, au premier plan les ruines de la rue de la Fontaine, en arrière-plan l'immeuble des Galeries Lafayette, Bd des Alliés.

  Le photographe se tient rue de l'Eglise, quartier de la Maladrerie et regarde vers la prison Beaulieu il s'agit du Planitre. De nos jours.

 L'entrée de la rue Saint-Pierre et de la place Saint Pierre.

La rue Saint Pierre.   De nos jours.

Place Saint Pierre en arrière-plan à gauche l'hôtel d'EscovilleDe nos jours.

Montage: A gauche, Collection R. Tesnière: du clocher de Saint Pierre, l'hôtel d'Escoville et à droite la rue Saint Pierre. A droite: Hôtel d'Escoville, à droite l'entrée de la rue de Geôle

L'Hôtel d'Escoville.

Rue Saint Pierre: à gauche photo prise dans la tour de l'église Saint Pierre. De gauche à droite les clochers de: Notre Dame de la Gloriette, le vieux Saint Etienne, Saint Sauveur et Saint Etienne., à droite au premier plan les ruines des Quatrans.

Montage: avant et après déblaiement des ruines des Quatrans. A gauche la rue Saint Pierre, en arrière-plan la flèche de Saint Sauveur, à droite la rue de Geôle,

Montage, deux vues du clocher de Saint Pierre, l'église est hors cadre à droite, deux photos de la place Saint Pierre; à gauche les ruines des Quatrans, à droite après déblaiement,  la flèche du monastère des Bénédictines et à droite la rue de Geôle.  De nos jours.

Montage: deux photos des Quatrans, à droite la place Saint Pierre avec les ruines de l'hôtel d'Escoville.

L'Eglise Saint Pierre vue du château, à gauche les deux tours de l'église Saint Jean, en arriière-plan la caserne du 43e RA.

Place Saint Pierre.

La place Saint Pierre vers la rue de Geôle à gauche et vers la rue Montoir Poissonnerie à droite.

 

La rue Montoir Poissonnerie après déblaiement, deux angles de prise de vues différents, en arrière plan le clocher du Sépulcre.

Rue Montoir Poissonnerie, en arrière plan l'église Saint Pierre, deux militaires à droite. Voir ci-dessous en avançant.

CollectionJean Roubier. L'église Saint Pierre vue de la rue Saint Pierre.

Collection R. Tesnière. L'église Saint Pierre, deux passants dans la rue Montoir Poissonnerie. Avant. Voir ci-dessus avec du recul.

Deux photos de la rue Sohier, à gauche au centre la rue Montoir-Poissonnerie, en bas à gauche la grille du square Saint Pierre; à droite en bas la grille du square, à droite en haut le toit du Marché Couvert.

Rue Segrais, vue de la place Saint Gilles, à droite le clocher du Sépulcre.

Collection R. Tesnière. Rue Segrais.

L'église du vieux Saint Gilles, située à quelques mètres de l'Abbaye aux Dames, cette église du 14ème siècle n'est plus qu'un champ de ruines.

Collection Jean Roubier. Un tas de ruines de l'église du vieux Saint Gilles

Rue du Vaugueux. Dans le fond le clocher de Saint Pierre.

Le commissariat central dans l'Hotel de Ville à l'ange de la rue Auber et de la place de la République.

Collection Jean Roubier. Des civils avec un tombereau trient les décombres de l'Hôtel de ville.

L'Hôtel de Ville à droite dans le fond de la rue Jean Eudes l'église Notre Dame de la Gloriette

Coll. part. Éric Eydoux. Ruines de l'Hôtel de ville sous la neige en janvier 1945

La place de la République sous les gravats de l'Hôtel de Ville, à droite le clocher de Saint Sauveur, à gauche la rue Saint Laurent, dans le fond la rue Jean Eudes.

Le long de la rue Saint Laurent, stockage des pierres de l'Hôtel de Ville,

La place de la République sous les gravats de l'Hôtel de Ville, à l'arrière-plan le clocher de Saint Pierre.

Photo Fonds Robinard. Place de la République devant les ruines de le Grand Hôtel de la place Royale. Avant et de nos jours.

En arrière plan, il ne reste plus grand chose de l'Institut Lemonnier rue de la Pigacière. Au premier plan la rue Saint Gilles et les arbres de la Petite Place Saint Gilles. De nos jours.

Carrefour de la Pigacière, quartier Saint Gilles.

Partant de la rue Saint Jean, la rue des Carmélites débouche dans la rue Mélingue. Seule une arcade de l'ancien couvent des Carmélites établi au 17ème siècle demeure debout. A l'arrière-plan, on distingue l'église Saint-Jean.

Photo Delasalle. Un Decauville rue des Carmélites. Voir avant.

NB le premier Decauville fut installé le 11 avril 1945.

 

Détruite et reconstruite, la plus grande partie du boulevard des Alliés se nomme aujourd'hui boulevard Leclerc, en hommage au Maréchal décédé en 1947.

Le boulevard des Alliés,  le théâtre, épargné par les bombes, sera incendié par les Allemands.

Boulevard des Alliés vu de l'église Saint Pierre à quelques mois d'intervalle, à droite l'embranchement de l'avenue de la Victoire future avenue du 6 juin.

Boulevard des Alliés, à gauche la rue Saint Jean, de nos jours le Bd Maréchal Leclerc.

Bd des Alliès, à droite derrière l'arbre le théâtre, en arrière-plan la façade rue Sadi Carnot de la Gendarmerie.

A l'emplacement du théâtre.  A droite la rue Mélingue. Voir en dessous dans l'autre sens.

Photo Fonds Robinard. L'emplacement du théâtre le photographe se tient à l'angle des rues Mélingue et Marthe Le Rochois, à gauche La Poste. Voir ci-dessus dans l'autre sens.

Bd des Alliès, à l'envers de la photo ci-dessus, plusieurs membres de la Défense passive avec casque blanc .

Boulevard des Alliés, l'emplacement de l'Hôtel Moderne en ruines et les Galeries Lafayette.  De nos jours.

Le Boulevard des Alliés, à droite hors cadre les galeries Lafayette, repérage.

L'abside de l'église Saint Pierre vue du Bd des Alliés. De nos jours.

Des Caennais Bd des Alliés en face de la tour Leroy. Repérage.

Des soldats et un civil devant la tour Leroy, boulevard des Alliés

Boulevard des Alliés vers la place Courtonne, à gauche l'abside de Saint Pierre.

Collection R. Tesnière. La place Courtonne. NB: l'enseigne à gauche A. SCHILTZ remontée à l'envers! A.SCHILTZ était sellier-bourrelier au n°1 de la rue des Prairies Saint-Gilles. Sur la pancarte: "Capotes et Garnitures d'Automobiles ».

A droite le quai de La Londe à gauche l'avenue de Tourville avec le bâtiment des Ponts et Chaussées dans le fond. La construction sur la gauche est sûrement la Papeterie du Calvados et de l'Eure au n°7 du quai de la Londe à l'angle de la rue Michel Cabieu. Localisation du photographe.

Vers la rue Neuve Saint Jean, un chantier de déblaiement; en arrière-plan l'église Saint Pierre et le marché couvert.

Rue Jean Romain devant le portail de l'église Saint Jean, un chantier de déblaiement avec un Decauville.

Caen, une locomotive diesel Jung, identique à la photo ci-dessus.

Un chantier de déblaiement au Nord de la rue Neuve du Port, en arrière-plan à droite l'église Saint Jean.

Réfection d'une rue avec des pierres, chargement de gravats à la grue dans un camion, rue non localisée.

La rue de la Marine et les arbres de la place Singer. En arrière-plan l'Abbaye aux Dames

Les Galeries Lafayette, à gauche le baraquement Monoprix; localisation du photographe, de nos jours.

Source. Boulevard des Alliés, à gauche l'immeuble d'Ouest-Eclair, noter la carcasse d'un ascenseur.

Vue aérienne du quartier Saint Jean, voir le repérage.

Eglise Saint Jean, à gauche les Ets Dumont & Jaussaud.

La rue Guilbert derrière le cinéma Le Sélect.    Un gros plan.

Quelques années plus tard, la rue Guilbert et le cinéma le Sélect en activité.

Vue de la tour de l'église Saint Jean, les rues Jean Romain, Carnot et des Carmélites; en arrière-plan (en blanc) le by-pass de 4 km de Venoix au Cours Aristide Briand avec pose d’un pont sur l’Odon réalisé en 6 jours (du 25 au 31 juillet) par le 16th Airfield ConstructionGroup, RE et la 2nd Road Construction Company, RCE .

La même zone que ci-dessus en plan plus large avec des baraquements en bois. version colorisée.

Pharmacie de l'Hôtel de Ville à l'angle des rues Pierre-Aimé Lair et du Pont Saint-Jacques. Capture d'un film de R. Hoar juste après la libération. De nos jours

Eglise Saint Julien,  carrefour Promenade Saint Julien et rue de l'église Saint Julien. De nos jours.

Source. Deux garçonnets jouent au sable devant les ruines de l'église Saint Julien.

Rue de l'Eglise Saint Julien

Collection R. Tesnière. La rue Saint Julien

Le Cours Sadi Carnot, en arrière-plan l'église Saint Jean.

Le Cours Sadi Carnot, dans le fond de la rue Sadi Carnot La Poste, à droite la rue Jean Romain.

Le Cours Sadi Carnot, de gauche à droite le Monument aux morts de 14-18, l'hôtel Malherbe (Feldkommandantur 723), la villa du docteur Morice, l'église Saint Jean.

La place Foch avec le Monument aux morts de 14-18 et l'hôtel Malherbe siège de la Feldkommandantur 723 durant l'occupation.

Gros plan de ruines place Foch

Source. Le 7 août, quai de Juillet un camion AEC Matador tracte un canon anti-aérien 3.7-inch escorté par deux motocyclistes. Le photographe a photographié le même camion quai Amiral Hamelin après qu'il ait traversé l'Orne.

La caserne des pompiers rue Daniel Huet

Collection R. Tesnière. Rue Basse.

Photo Fonds Robinard. La rue de l'Aurore relie la rue de la Délivrande ( de G. à D. sur la photo) à la rue d'Haleine.

Source Cadomus. En haut à droite la Prairie, le Cours Sadi Carnot, la place Foch avec le Monument aux morts et l'hôtel Malherbe, vers la gauche la rue du 11 Novembre; en bas à droite le kiosque à musique de la place de la République, à l'extrême droite les ruines de l'Hôtel de Ville et au-dessus la Poste, au-dessus dans les arbres l'emplacement du théâtre. En bas à gauche, les Galeries Lafayette Boulevard des Alliés et en arc de cercle la rue des Jacobins vers le Cours Sadi Carnot. En haut à gauche l'Orne avec le garage Citroën et la rue Saint Jean

Rue Basse en 1953, en arrière-plan l'église de la Trinité Abbaye aux Dames

En 1954, carrefour de la rue Buquet et de la rue Basse près de la tour Leroy. Repérage.

Source: Archives Municipales de Caen. Marché près de la Tour Leroy, plus de détails ici.

RIVE DROITE

Rive droite, place de la Gare et rue de la Gare.

Le bas de la rue d'Auge

La rue d'Auge à hauteur de la rue du Général Decaen.

Source Fonds François Robinard. La rue d'Auge

Collection R. Tesnière. Rue du Général Decaen.

 La rue de Vaucelles.

 

Source. Rue de Vaucelles. Rue de Vaucelles (dans le fond le garage Citroën)

La rue de Vaucelles, à gauche vue de la rive gauche avec le Monty'sbridge et en arrière-plan Saint Michel de Vaucelles, à droite vue de la rive droite avec à gauche les flèches de Saint Etienne et au centre Saint Jean.

Rue de Vaucelles, le photgraphe tourne le dos à l'Orne, en arrière-plan à droite Saint Michel de Vaucelles.

Un marché rue de Vaucelles, en arrière-plan le garage Citroën, place du 36e RI et l'église de la Trinité

Rue de Vaucelles, dans le fond à droite l'église Saint Jean, photo de droite: au centre en arrière plan le garage Peugeot rue du 11 Novembre.

 Deux vues du bas de la rue de Falaise.

Le bas de la rue de Falaise, le pont ferroviaire de la rue de Vaucelles et en arrière-plan l'église de la Trinité. De nos jours.

Le bas de la rue de Falaise, à droite le clocher de Saint Michel de Vaucelles.

Collection R. Tesnière. Au premier plan, la rue de l'église Saint Michel de Vaucelles.

Collection R. Tesnière. Rue Canchy.

Source: Les Archives municipales de Caen. L'immeuble du Café de l'Orne au 2 rue de la Gare faisant l'angle avec le qaui Hamelin, immeuble détruit. De nos jours.

Source. Des Churchill AVRE du 6th Assault Rgt, RE (cf. le signe tactique 1234 sur le garde-boue droit) de la 79th Armoured Division (voir l’emblème sur le garde-boue gauche) traversent le Boulevard Leroy le 6 août, pour prendre position avant l'opération Totalize. Des Sherman sont garés et camouflés le long des maisons souvent en ruines. Les deux AVRE suivant celui de tête sont de rares modèles convertis sur Churchill Mk III, identifiables à leur tourelle soudée. Légende empruntée à ce livre page 30.

 

III- Baraquements en bois par le Secours Quaker

 

Alice Resch-Synnestvedt, une infirmière norvégienne de 37 ans, a été envoyée à Caen de janvier à juin 1945. Sa mission : organiser l'accueil des réfugiés.

Alice avait pour mission d'engager des hommes, de trouver des camions et d'organiser la construction de baraques en bois pour le compte des Secours Quaker.

Coll. part. Eric Eydoux.avec son aimable autorisation. Camions Bedford du Secours Quaker.

Coll. part. Eric Eydoux.avec son aimable autorisation. A gauche Saint Etienne le Vieux, à droite le Lycée Malherbe avec une Croix Rouge sur la façade.

Coll. part. Eric Eydoux.avec son aimable autorisation. Montage des baraquements dans la cour du Lycé Malherbe.

Source:

Articles dans Ouest France

Remerciements à M. Éric Eydoux pour l'utilisation de ses photos.

Alice Resch-Synnestvedt a écrit ses mémoires sous le titre: Over The Highest Mountains: A Memoir Of Unexpected Heroism In France During World War II.

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CAEN juste avant la reconstruction, photo aérienne vers 1948-1949. AGRANDISSEMENT

Voir également une autre en plan élargi

 

Film incomplet (manque la fin)
Caen relève ses ruines
Année : 1950
Réalisateur Raymond Bisch
Production : Ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme / Équipes artisanales cinématographiques 

 

Source pour de nombreuses photos le site de cartes postales delcampe.net

pages 64 et 67 et et ..

Remerciements à Mme Lanoë-Dubois, à Philippe Bauduin, à Michael Biabaud, à Dominique Bidart, à Claude Demeester,  à Karl Dupart, à Yves Lecouturier et à François Robinard et aux membres de ce forum.

 

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